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La petite place après l'évacuation des 27 et 28 avril 1917. Sous une pluie de bombes et d'obus, les maisons tombent les unes après les autres...

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...le même secteur quelques bombes et obus plus tard. Ces cartes postales sont datées de juillet à octobre 1917.

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Pillage des maisons après le départ des héninois, ici les meubles sont près à partir, le soldat semble garder son butin.

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Dans la ville déserté où l'herbe commence à pousser entre les pavés, l'occupant prend un instant de repos devant un estaminet réquisitionné pour l'occasion.

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Les destructions se poursuivent, les murs tombent. L'église attend son heure, ses aiguilles lui ont été retirées, Il est probable que l'occupant soit entrain de fragiliser ses appuis pour préparer le coup de grâce.

Sur les murs de grandes pancartes indiquent les directions vers le front. Les obus anglais tombent, les toits et les murs aussi...

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Photographie datée du 10/04/1918.

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Cette carte postale nous montre l'ampleur des destructions à la fin de la guerre.

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Il faut maintenant tout abattre pour reconstruire

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Dans les ruines l'activité reprend.

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Jusqu'à la carte précédente, les ruines restent debout... Elle vont disparaitre peu à peu dans les documents suivants.

Vient alors le temps de la reprise des activités économiques et de la reconstruction. Le marché renaît dans les ruines et les bâtiments en construction.

A Gauche, la maison a gagné un étage. 

A droite, Le Magasin MARCHAND, Frère est en construction.

Le secteur de la mairie et de l'église est déblayé. Au premier plan, l'hospice est complètement démonté. L'électricité gagne du terrain courant de façades en façades.

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Les constructions avancent, les voitures commencent à gagner du terrain. 

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Le tracé de la route a été redessiné pour laisser place à un grand trottoir.

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