Sur son socle, Elie GRUYELLE contemple les voies où sont passés les nombreux wagons de bétraves destinées à ces sucreries. Elle représentaient l'une des plus grosses productions de sucre en France avant la guerre. Cette dernière détruira ces usines et son château.
Sa statue tenait bonne place à l'entrée de la rue de la gare, en face de la station.
Le secteur de la gare a toujours été riche en estaminet, café, hôtels et restaurants.
L'hôtel des voyageurs, à gauche, faisait face au buffet de la gare. Il a été détruit pendant la guerre 1914-1918.
La place est pavée depuis longue date, l'avenue de la gare, rue Roger SALENGRO, est en plein développement, la route est encore brute de terre.
Elie Gruyelle trône fièrement sur son socle. La statue a disparue pendant la guerre. Ici le décor naturel de fond a été laissé, sur les cartes suivantes, il a été corrigé pour laisser de la place aux écritures.
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Monsieur CHARLON fit élever un monument à l'angle des rues SALENGRO et BRUNEAU pour remplacer celui détruit par la guerre.
Cette carte fait apparaître une rangée d'arbres de chaque côté de l'avenue. La grille en fer forgée qui entourait le monument a été réalisée dans l'atelier de mon grand-père César BOUQUET et posée par mon père Gustave, BOUQUET.
Ici une construction s'est adossée au monument. Deux affreux pylones électriques encadrent le monument, l'électricité coure encore de toits en toits.
Le bustre de Monsieur Elie GUYELLE.
Les arbres ont ensuite disparu au profit de l'élargissement de la route. (photographies 2002)