le 03/03/2010
Je vous félicite pour l'énorme travail que vous
avez
réalisé. Je viens de passer deux jours sur votre
site et
je pense y avoir recours encore car je suis à la
recherche
de souvenirs du temps d'HENIN LIETARD. J'avais des amis qui
habitaient rue du "nouvel abattoir". Le nom de la rue ne figure plus
sur les plans récents. Elle a du ètre
rebaptisée. Je pense que vous pourrez m'éclairer
à
ce sujet et je vous en remercie à l'avance.
Gérard LACOMBE
le mas LANK
1092 CH ste Marie
30100 Alès
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le 03/05/2009
Bonjour Monsieur Bouquet
Je viens de
découvrir votre site historique concernant
Hénin-Liètard et je dois avouer
être subjugué par la somme de documents
accumulé ainsi que par la richesse de vos commentaires.
Aussi je
prends un immense plaisir à flâner au fil
des rues et des anecdotes qui y sont rattachées.
Et, quelle
surprise lors d' une promenade le long de la rue Elie Gruyelle vers
Douai d' y rencontrer.... ma Grand Mère, bon, je sais, d'
autres ont sûrement reconnus au fil de la visite de
votre site des êtres chers où des
connaissances, mais moi c'est d'
Emma Omérine LOMPREZ (divorcée
de Bernard Eugène Debray) dont il s' agit,
propriétaire avec sa mère Catherine du Bal
LOMPREZ et non LAMPRET comme il est indiqué (l' erreur est
bien légitime)
Pour la
petite histoire j' ajoute une photo que je détiens et que je
vous autorise bien évidemment à utiliser
où l' on distingue ma grand mère tout
à droite sous la flèche ainsi que la
totalité de son personnel et peut-être aussi mon
arrière grand mère au centre mais je n' en suis
pas sûr.
Par contre
le petit garçon qu' Emma tient devant elle
n' est autre que son fils (qui deviendra mon père) Julien
Debray née le 23 mai 1900 donc la photo à
vraisemblablement été prise vers 1910.
A l'
extrémité gauche, tenant son chien dans les bras,
mon oncle René Debray frère de Julien
né le 5 août 1896 (qui deviendra,
malheureusement comme bien d' autres, grand invalide suite à
la guerre 14-18) et père de..... est-ce une surprise
Julienne Debray épouse de Mario
Ferrera mère de Danielle Bouquet épouse
de René Bouquet, voyez-vous de qui il s' agit ???
En tous cas
félicitations pour votre travail
Bien
à vous
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le
23/04/2009
Je me nomme Debaisieux francis je suis nait le 29 04 1950 et j'ai
habité la cité foch et
fréquenté l'ecole fallieres. J'ai
constaté sur google maps qu'il ny a plus l'église
st marie ? ni de platane dans le boulevard fallieres ? plus
"eud voyette ni tchio pont d'eul" cité foch.
Sur copains d'avant, j'ai retrouvé des camarades de classe
et de la cité. Ma mere disait toujours un "camaratte
ché pa d'eule pichate !" Bravo! pour le site et merci de
pouvoir voyager dans le passé avec la presentation de cartes
postales.
Bonne continuation, à bientôt de vous lire
peut-être?
Amicalement F. Debaisieux
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Le 01/03/2009
Hier eine Information:
Wir machen eine Exposition von Arnold-Kriegsbildern in Steinbach bei
Baden-Baden, wo Arnold geboren wurde.
Offen: 6.Juni-31.Juli 2009, Details später.
siehe
http://www.frontmaler1914-18.de/
Sie sind sehr willkommen zur Vernissage.
Viele Grüße
Ihr Peter Buck
Une information :
Nous faisons une exposition au sujet d'Arnold-Kriegsbildern
dans Steinbach près de Baden-Baden,
où Arnold a été mis au monde.
Franchement : 6.Juni-31.Juli 2009, détails plus tard.
voir
http://www.frontmaler1914-18.de/
Ils sont très bienvenus au Vernissage.
Beaucoup de salutations.
Votre Peter Buck
le 04/02/2009
jossef@numericable.fr
Bonjour. J'ai visité votre site ce jour. Très
belle réalisation, formidable collection de souvenirs que
j'ai regardé avec émotion. J'ai
survolé les années où j'ai
vécu au 89 - 91 rue Hénocq, de 1949 à
1963. Un bail, de l'école
maternelle Carnot à l'école
Voltaire, au collège alors baptisé C.N.T.M.C.A.
avant de devenir collège puis le lycée Louis
Pasteur. Enfin le conseil de révision et le
départ sous les drapeaux (1963), avant l'envol vers d'autres
cieux !...
La rue Hénocq
(que l'on appelait alors le "coron sans beurre" - souvenir de la guerre
et du marché noir, paraît-il !) où mes
parents étaient boulangers pâtissiers ,
le coron (ou cité) Saint-Roch (que l'on appelait alors le
"coron des mal mariés" - allez-donc savoir pourquoi
?) ont abrité toute mon enfance, ma jeunesse, mon
adolescence. Les nombreuses "voyettes" qui tramaient le quartier
autorisaient toutes les escapades, les "maraudes" et les fuites
éperdues.
Je passerai
l'information à la diaspora héninoise et aux amis
avec lesquels je partagerai toujours d'agréables souvenirs.
Merci pour ce bon moment
de mémoire et d'émotion. Bon courage. Continuez !
Cordialement. Francis JOSSE (Lille)