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La rue des Roses* débute à l'intersection avec les rues Lamendin (ancienne rue du hanovre), de l'asile et de l'abrevoir pour déboucher sur la rue Monpencher. Elle possède la même déclivité que la rue Jean Jacques Rousseau. Elle est plus prononcée que celle de la rue de l'église ou celle de la place de la République. 

C'est donc naturellement qu'au pied de ce mouvement de terrain coulaient l'Eurin puis les fossés de la commune.

* : porte ce nom en 1895 mais rue du Hanovre en 1827.

De mémoire de cycliste, avec la rue Jean Jacques Rousseau, c'est une des rues les plus pentues de la commune.

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Depuis 1900, la ville a subit de nombreuses modifications, la guerre 1914-1918 a détruit 70% des maisons existantes qui étaient alors concentrées sur un gros bourg. La découverte d'une facade identifiée à Hénin-Liétard se transforrme alors en jeu de piste passionnant. Ces recherches m'amènent parfois à passer de longues heures à me promener virtuellement dans les rues de la ville...

Ainsi, la vue suivante n'a pas échappée à la règle : trouver une façade porte à gauche le long d'un garage revêtant un maximum d'indice tout en prenant en compte les destrustions totales ou partiellles des maisons puis les modifications des habitations. Autant rechercher une aiguille dans une botte de foin... tout en gardant l'esprit large.

Je vous propose donc cette solution pour la façade d'un estaminet qui est une des rares, voir l'unique solutions qui reste des traces du passé... 

Je reçois, bien sur, toutes autres propositions justifiant un intéret pour localiser cette facade. Bonne chance...

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Sources Bibliographiques:

Jean Louis Delelis, HENIN-LIETARD,  ses rues, ses cités, ses lieux dits , société historique Hénin-Carvin édité le 16 octobre 1969.

Crédit photographique :

1,2,3,4,5)  Patrick BOUQUET, collection personnelle.

6) photo Google map : https://goo.gl/maps/7ft3PDeiDbKBhSvC7

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