I 

René Bouquet 22 septembre 2017

La rue des AUBEPINES (Résidence du Champ de l’Abbaye).

Première publication le 6 septembre 2017. Rééditée modifiée le 22.09.2017 puis le 26.02.2018

L'aubépine (Crataegus) est un genre d'arbres ou arbustes épineux de l'hémisphère nord appartenant à la famille des Rosacées. L'aubépine est parfois appelée « cenellier » et ses fruits des cenelles. On la surnomme également « épine blanche ».
Le nombre d'espèces appartenant au genre est difficile à déterminer compte tenu de la facilité avec laquelle les différentes espèces d'aubépines s'hybrident entre elles en générant des variétés polyploïdes {polyploïde se dit d'une cellule, d'un organisme qui a plus de deux lots de chromosomes. (Chez l'homme, les cellules cancéreuses sont souvent polyploïdes.)} se reproduisant par apomixie(En botanique, l'apomixie (ou apogamie) est un mode de multiplication asexuée, sans fécondation et avec modification de la méiose). La classification dépend donc des différentes interprétations taxonomiques (La taxonomie, ou taxinomie, est une branche de la biologie, qui a pour objet de décrire les organismes vivants et de les regrouper en entités appelées taxons afin de les identifier puis les nommer et enfin les classer et de les reconnaitre via des clés de détermination dichotomiques), et varie de 200 à 1 200 espèces, sans compter les cultivars ornementaux.
En France, les espèces le plus souvent rencontrées sont Crataegus laevigata, Crataegus monogyna, 'Crataegus calycina... Les fleurs sont utilisées comme hypotenseur, antispasmodique et sédatif. Les feuilles sont en revanche tonicardiaques. Il est donc préférable de ne pas mélanger feuilles et fleurs dans une même infusion ou tisane. (Source Wikipédia).

La rue des AUBEPINES qui mesure environ 425 m à l’échelle du plan « Google » se trouve à l’extrémité de la résidence du champ de l’Abbaye, à la limite territoriale des communes d’HENIN-BEAUMONT et de MONTIGNY-EN-GOHELLE. Elle débute bizarrement à l’extrémité de la rue des GLYCINES puisque l’adresse de l’école maternelle BRACKE-DESROUSSEAUX est rue des AUBEPINES. Cette rue aurait pu rejoindre la rue de CALVI de MONTIGNY-EN-GOHELLE qui est dans son prolongement, mais la liaison entre les deux rues n’a jamais eu lieu ; il semblerait que les deux communes ne se soient pas entendues à ce propos et le problème risque de se poser une fois encore lorsqu’un lotissement neuf de 112 logements sera construit à la place de l’ancienne cité corse. Il y a quelques années, une pétition signée par les héninois de ce secteur avait abouti à un refus de création de cette liaison. La rue se poursuit à droite en direction de la Rocade Minière (A 21) et la longe pour aboutir rue du 19 mars à MONTIGNY-EN-GOHELLE (Voir le plan joint). Pour les habitants de MONTIGNY-EN-GOHELLE résidant rue du 19 mars, la rue des Aubépines est la seule issue possible leur permettant actuellement de quitter leur rue enclavée.
Ci-joint un plan « Google » des lieux 

Le 26.02.2018, constatant des travaux rue des AUBEPINES qui est dans le prolongement de la rue des GLYCINES, je suis allé prendre deux photos qui montrent que la jonction entre la rue des AUBEPINES et la rue de CALVI à MONTIGNY-EN-GOHELLE est effective. La haie qui séparait les deux rues a été arrachée et les chicanes de métal ont été enlevées. Les travaux de construction d'un lotissement de 112 logement sur l'ancienne cité Corse ont donc débuté et j'ignore, pour l'instant, si cette jonction est provisoire durant les travaux ou définitive, ce qui déplairait manifestement aux riverains qui verraient un nouveau flot de circulation emprunter la rue des Glycines qui est quasi en ligne droite jusqu'à l'avenue des Déportés où il y a un panneau "STOP". Ce sont donc des travaux à suivre...

1) La plaque de rue (nouveau modèle) que l'on trouve à l'extrémité de la rue des Glycines.

2) L'aubépine "Crataegus-monogyna".

3) Vue d'ensemble de la section 1 de ladite rue allant de la rue des Glycines jusqu'à la base du remblai de la Rocade Minière (A.21).

4) Les premières habitations du côté gauche à partir du n° 13 (premier numéro impair). On remarque qu'autour de la seconde habitation se trouve une clôture. Cette maison était celle de la directrice de l'école BRACKE-DESROUSSEAUX mais elle a accueilli durant un temps, une classe primaire de l'école. J'ignore si actuellement, elle fait toujours partie de cette école.

5) Le côté droit, la première habitation côté pair porte le numéro 16.

6) En sens inverse, vue vers la rue des Glycines et l'école BRACKE-DESROUSSEAUX.

7) Côté droit, les habitations à partir du numéro 62.

8) Côté droit, les habitations à partir du numéro 82. La plaque de rue indique que cette habitation se trouve face à la rue du 19 mars de MONTIGNY-EN-GOHELLE.

9) Entre les numéros 116 et 142, cet espace vert laisse apercevoir des bâtiments du Centre Hospitalier d'HENIN-BEAUMONT (CHARLON). Il se trouve face à la seconde sortie de la rue du 19 mars qui se termine en patte d'oie.

10) A l'extrémité de la première section, les habitations sont d'un modèle différent; elles font partie d'une autre tranche de construction.

11) La première section de la rue, vue en sens inverse.

12) La première issue de la rue du 19 mars à MONTIGNY-EN-GOHELLE qui aboutit face à l'habitation n° 82 rue des Aubépines.

13) L'habitation portant le n° 1 rue du 19 mars située à gauche en entrant. La clôture blanche est celle de l'habitation n° 65 rue des Aubépines.

14) Une des deux issues de la rue du 19 mars de MONTIGNY-EN-GOHELLE; face à l'espace vert de la photo n° 9.

15) Vue d'ensemble de la "patte d'oie" de la rue du 19 mars de MONTIGNY-EN-GOHELLE au centre de laquelle se trouve un terrain de boules.

16) A l'extrémité de la première section de la rue des Aubépines, un espace vert aménagé en terrain de football. Il se trouve en contrebas de la Rocade Minière dont on aperçoit un lampadaire, en arrière-plan, au centre de la photo.

17) A partir de cet espace vert, la rue des Aubépines tourne à gauche à angle droit et longe la Rocade Minière. Le premier numéro impair de cette seconde section est le 193 et 198 pour les numéros pairs.

18) Dans le virage, les habitations n° 206 et 218 (extérieur du virage).

19) En sens inverse, les habitations n° 206 et 198, les premières côté pair de cette deuxième section.

20) Vue d'ensemble de cette seconde section.

21) Le côté des numéros impairs à partir du n° 231.

22) Le côté des numéros pairs à partir du n° 256.

23) Le côté pair à partir du n° 284.

24) La dernière habitation du côté pair au n° 314.

25) La dernière habitation du côté impair au n° 323.

26) L'extrémité de la rue se termine en boucle qui rejoint la rue du 19 mars à MONTIGNY-EN-GOHELLE; il n'y a plus d'habitation mais un espace arboré sur la droite qui longe la Rocade Minière et fait office de mur anti-bruit.

27) La même boucle vue en sens inverse.

28) Je n'imaginais pas que l'extrémité de la rue des Glycines était en réalité une section de la rue des Aubépines puisque l'école maternelle BRACKE-DESROUSSEAUX qui s'y trouve est domicilée rue des Aubépines. Entre la rue des Aubépines et la rue de Calvi à MONTIGNY-EN-GOHELLE, une haie empêche le passage des véhicules. Seuls les piétons, cycliste ou cyclomotoristes peuvent passer par ce petit espace visible sur la gauche où des barrières métalliques empêchent d'y circuler trop vite.

29) Cette troisième section qui mesure environ une vingtaine de mètres, vue en sens inverse en direction de la rue des Glycines qui se trouve dans son prolongement.

30) De l'autre côté de la haie, l'ancienne cité corse de MONTIGNY-EN-GOHELLE où il ne reste plus beaucoup d'habitations. Il est prévu d'y construire un lotissement de 112 logements. Pour le moment c'est un lieu privilégié des gens du voyage qui l'occupent souvent.

31) L'entrée de l'école maternelle BRACKE-DESROUSSEAUX qui a été construite au début des années 70; mes deux fils l'ont fréquentée. Elle avait été conçue par Michel DENISSE l'architecte héninois chargé de la conception de l'ensemble de la résidence.


Sources Bibliographiques:

René BOUQUET

Crédit photographique :

Les photographies René BOUQUET sont des 17 et 21 mai 2017, puis du 26.02.2018.

I