La rue de l’ATLANTIDE.
Première publication le 10.11.2016.
L'Atlantide (du grec ancien Ἀτλαντίς / Atlantís, sous-entendu νῆσος / nễsos, « île ou presqu'île », c'est-à-dire « île d'Atlas »)[réf. nécessaire] est une île qui aurait été engloutie lors de la Protohistoire grecque et d'Europe de l'Est. Elle est évoquée par Platon dans deux dialogues, Timée puis le Critias. Le récit de Platon a peu d'influence durant l'Antiquité mais il suscite un intérêt croissant à partir du Moyen Âge. Le mythe donne naissance à un grand nombre d'interprétations dont certaines cherchent à faire de l'Atlantide un lieu qui aurait réellement existé. Dans le même temps, l'Atlantide inspire de nombreuses interprétations ésotériques. Au début du XXI é siècle, les chercheurs eux-mêmes restent partagés entre les tenants d'une Atlantide de pure fiction (les hellénistes et une partie des historiens de l'Antiquité) et les partisans d'une lecture du récit de Platon ancrée à des événements réels (certains historiens de l'Antiquité et certains archéologues). Enfin, l'Atlantide demeure un thème très fertile dans l'art et la littérature en particulier dans les genres liés au merveilleux et au fantastique, comme la fantasy, le péplum ou la science-fiction (Source Wikipédia )
Cette rue est une voie en impasse dont le seul accès se fait par la rue de l’ODYSSEE. Elle mesure environ une cinquantaine de mètres, les habitations les plus éloignées portant respectivement les numéros 61 et 60. Comme de nombreuses rues en impasse, celle-ci comprend une partie plus large à son extrémité pour faciliter le demi-tour des véhicules.
Ci-joint : un plan « Google » des lieux